mardi 27 avril 2010

Drôle de bête !


Ce charmant animal, bien que ressemblant étrangement à un rat, fait partie de la famille des marsupiaux, la même que celui qu fait "houba ! houba", sauf que celui-ci existe bel et bien.

En soit il n'est pas très gênant, c'est -normalement - un animal nocturne. Souvent, la nuit nous voyons leurs yeux dans nos phares de voiture.

Son gros problème est son odeur ! Quand il se sent en danger, il évacue une odeur digne des mouflettes... Repérable, à vue de nez, à 500 mètres, ou fait semblant de s'évanouir et fait le mort !

Celui-ci n'a rien fait comme les autres, il ne s'est pas évanoui en nous voyant, n'a émis aucune odeur ni aucun cri !!!

Un mutant ??? coincé dans notre compteur d'eau.

dimanche 25 avril 2010

MERCI !!!!!

Le 30 août 2009, SG a eu la bonne idée d'installer un logiciel qui me permet de connaître les villes d'où viennent les visiteurs de ce blog. Vous êtes nombreux de par le monde avec des lieux inattendus. Certains sont arrivés par surprise en faisant des recherches, d'autres sont des fidèles depuis maintenant presque 3 ans....

Depuis le 30 août et jusqu'au 24 avril 2010, vous avez été plus de 2 000 à venir nous rendre visites, en toute discrétion ou en laissant des messages.

MERCI. Savoir que vous êtes là donne un coup de booster pour continuer...

(mais l'anonymat est garanti, j'ignore pour la plupart qui vous êtes ! aucune coordonnée, une part de mystère que j'aime bien...)

vendredi 23 avril 2010

Le Brésil et l'Argentine en vidéo

Le Brésil en live !!!!


Les Dunes



Rio de Janeiro



Les chutes d'Iguaçu

L'Ile des Perroquets

Voilà, notre voyage est terminé, nous en avons pris plein les yeux et le coeur....

jeudi 22 avril 2010

Bélem 10 avril

Donc, levés à 4h00 pour un départ à 4h30, le ventre vide....


Nous embarquons sur notre bateau de croisière avec un couple d'argentins. Nous sommes 11 sur le bateau.

Après une petite demi-heure de navigation, nous nous arrêtons devant une île. Il fait nuit noire, difficile de discerner quoi que ce soit, quand les premières lueurs de l'aube apparaissent.

Nous entendons un premier cri, puis plus rien. Le soleil sort de sa torpeur, le ciel s'embrase.

Alors une nuée de volatiles se lève au-dessus de nos têtes. Nous sommes assourdis par les piaillements des perroquets. Ils sont des dizaines de milliers à avoir attendu l'appel du plus âgé pour se permettre de s'élancer.


Le spectacle dure à peu près une demi-heure. Les aras verts se sont éparpillés sur la côte pour trouver de quoi se nourrir et les ubus les ont temporairement remplacés sur l'île.

Le jour s'est totalement levé quand nous repartons pour, à notre tour, nous sustenter.
Après un copieux petit-déjeuner, nous remontons à bord pour une exploration de ce bras de l'Amazone.
Les crues sont très importantes aussi les maisons sont pratiquement toutes construites sur pilotis.

Nous arrivons à un village réputé pour sa forêt qui recelle des trésors médicinaux. Nous sommes accueillis par le doyen du village (qui doit avoir 70 ans depuis 10 ans...) et nous fait goûter les noix de pécan toutes fraîches.

Quelques minutes plus tard, nous le retrouvons, grimpés sur un palmier, sautant sur un autre...


Nous continuons notre promenade dans la forêt. Voici l'arbre à caoutchouc qui fit la richesse de Bélem au XIX ème siècle avant que les graines de cet arbre ne furent voler et les arbres exploités à moindre coût.
Nous retrouvons la faunes de Guyane...



Les grandes fermes de zébus, difficiles à surveiller au moment des grandes crues, ont donné naissance à la police montée sur zébus !!! Ces animaux extrêmement forts et résistants permettent de passe sur tout type de terrain et par tout temps.

Les marchands habitants le long des rios doivent se plier aux horaires des marées pour aller sur le marché de Ver-O-Peso (que malheureusement nous n'avons pas eu le temps de voir).

Nous déjeunons le long du fleuve avant de rejoindre Bélem.

Il n'est pas rare de croiser un bateau "pousseur" et sa longue barge chargée de voitures et passagers pour rejoindre les villages du Fleuve.

Quelques monuments sont actuellement en cours de rénovation pour tenter de donner à la ville son éclat d'autrefois et garder son patrimoine culturel.



mercredi 21 avril 2010

Bélem, 8 et 9 avril

Sur le trajet du retour, nous faisons deux escales. La première à Curitiba, après une heure de vol. Quelle surprise ! Tous les passagers qui embarquent sont en doudoune, gantés, chapeautés...Apparemment il fait très froid, nous sommes dans les montagnes !

La seconde escale se situe à Sao Paulo. Cette fois-ci nous devons descendre de l'avion et attendre 5 minutes en salle d'embarquement avant de reprendre nos places...???
Il y a encombrement sur la piste, près de 11 avions font la queue pour décoller.

Enfin, en début d'après-midi nous arrivons à Bélem et profitons des rayons du soleil entre 2 ondées pour nous baigner et prendre un peu de temps avant de redémarrer. Nous logeons à la Pousada Le Massilia, tenue par une famille de français, comme lors de notre première nuit.
Normalement nous repartons demain en fin de matinée, nous voulons visiter la ville.


SG se plonge dans les guides...

Finalement, en guise de visite, nous choisissons d'aller découvrir un grand centre commercial, relativement neuf. Impressionnant de découvrir ce centre. Cela faisait longtemps que nous n'avions pas vu autant de boutiques...


La fatigue du lever aux aurores se fait sentir et nous rentrons par des petites rues à la tombée de la nuit. Les gens sortent du bureau et les cafés sont pleins.


Le 9 nous bouclons nos valises, nous avons rendez-vous dans le hall de la pousada à 11h00. Mais notre guide nous annonce que l'avion n'a toujours pas décollé de Guadeloupe, beaucoup de retard est à prévoir...Nous ne pensions pas qu'il y en aurait autant ! Obligés d'attendre presque toute la journée à l'hôtel pour être certains de répondre présents au moment du départ.
Finalement, nous passons à l'agence n'ayant aucune nouvelle pour apprendre qu'il n'y aura pas de vol avant dimanche 11 et encore ils n'en sont pas absolument certains.
Nous n'avons plus de vêtements dignent de ce nom, SG file dans une laverie.

Bélem est une ville de building, mais également de maisons, vestiges du passé colonial, qui ne resteront pas debout très longtemps.




Sûrs que le lendemain nous serons bloqués sur la ville, nous décidons d'une excursion au dernier moment ! Le plus difficile sera le réveil à 4h00 du matin... Les enfants font une drôle de tête.

mardi 20 avril 2010

Iguaçu chutes argentines

Après quelques formalités de police pour quitter le Brésil et entrer en Argentine, nous arrivons au parc arrgentin.

Notre guide nous explique notre parcours, pieds, train, ponton jusqu'aux gorges....



Normalement 2 petits trajets en train sont nécessaires pour arriver au point de départ de la promenade. Mais courageux, nous ne prenons pas le premier, pour éviter de refaire la queue pour le second. En fait, nous n'avons que 600mètres à faire !

Après 1/4 heure de "chemin de fer", nous enpruntons ce pont pour 30 minutes de marche afin d'aller admirer la "Gorge du Diable", chutes les plus impressionnantes d'Iguaçu.


Le drapeau argentin nous accueille pour bien signifier la frontière avec le Brésil qui se trouve juste de l'autre côté des chutes.

Effectivement, la Gorge du Diable mérite bien son nom. La force du débit est tel, qu'un nuage d'eau nous empêche de voir le fond, c'est comme si nous étions au bas de la chute (vous me suivez ???) qui pourtant fait 70 mètres.





Peu de personnes peuvent se targuer d'avoir vu le fond, cela n'est quasiment jamais arrivé.

Nous avons encore de la chance, pas beaucoup de touristes en cette saison. Par contre des nuées de papillons de petites tailles mais de toutes les couleurs viennent autour de nous et se poser un peu partout sur nous.

En face nous apercevons le Grand Hôtel "Las Cataratas" qui se trouve au coeur du Parc brésilien.


Nous empruntons plusieurs pontons, ensuite, tout le long du parc pour savourer ce spectacle gigantesque et magnifique.


L'eau jaillit de partout, impossible de ne pas être mouillé, mais le temps est au beau fixe, nous séchons en quelques minutes.






Un ponton s'approche un peu plus que les autres des chutes...Douche assurée !


Après quelques 3heures de marche, nous rentrons à notre hôtel, pour nous poser un peu.



Le lendemain, dès potron-minet, nous reprenons un vol pour Bélem.


Ce coin du Brésil a essentiellement été colonisé par les européens du nord. Il en reste encore beaucoup d'influence. Et surtout, certaine ville, voulant garder leur patrimoine culturel, ressemble, paraît-il à un mini-Tyrol où l'allemand se parle couramment voire même plus que le portugais.