TRES BONNE ANNEE 2011 ...
Bonheur.....
Santé....
Sérénité...
vendredi 31 décembre 2010
vendredi 24 décembre 2010
Joyeux Noël
Toute la famille d'Alice se joint à elle pour vous souhaiter un merveilleux et doux Noël....
dimanche 19 décembre 2010
Retrouvailles
5 mois que le handballeur n'avait pas remis les pieds en Guyane, 5 mois que nous ne l'avions pas vu !!!Retrouvailles à la hauteur du bonheur de Ludo .
dimanche 12 décembre 2010
12 décembre 2010
Loin des rigueurs de l'hiver, nous profitons des fins de journées douces avec délectation...
samedi 11 décembre 2010
Visages de Guyane
Une image typique de ceux qui font la Guyane. Mademoiselle C. , métro, Noée, Mademoiselle A."chabine" (parents créole et métro), Mademoiselle C., , Mademoiselle M. , créole guyanaise. C'est ce mélange multiéthnique que j'aime ici...samedi 4 décembre 2010
En attendant Noël
Bon, ce n'est pas parce que nous n'avons ni froid, ni neige que nous ne nous y préparons pas !!!
Nous l'attendons de pied ferme le 24 au soir, tout est prêt à un bémol près : les cadeaux !!!
Le Handballeur est ravi de se faire le messager depuis la métropole, mais trouve que son sac va être un peu lourd, surtout que la liste n'est pas encore terminée.
Je le reconnais, certains personnages ne sont pas très académique et le sapin n'est pas vraiment dans les couleurs "noëlistique" mais est-ce vraiment important ?
Nous l'attendons de pied ferme le 24 au soir, tout est prêt à un bémol près : les cadeaux !!!
Le Handballeur est ravi de se faire le messager depuis la métropole, mais trouve que son sac va être un peu lourd, surtout que la liste n'est pas encore terminée.
Je le reconnais, certains personnages ne sont pas très académique et le sapin n'est pas vraiment dans les couleurs "noëlistique" mais est-ce vraiment important ?
samedi 27 novembre 2010
En direct d'Agami
En-dehors du site de la Carapa, tous les autres sites ne sont accessibles que sur invitation. Et plus le site est proche du pas de tir, plus les restrictions et mesures de sécurité sont importantes.
Le site Agami est à 7km500 du pas de tir, c'est-à-dire tout à côté. Seuls les plus de 16 ans y ont accès. Nous sommes fouillés avant la montée dans les bus et la démonstration des masques à gaz est faite pendant le trajet et à nouveau sur le site.
Deux grands dais sont tendus avec environ 300 chaises dessous pour attendre le tir. Nous arrivons sur place 1heure avant le tir.
Le site est magnifique et nous avons une vue remarquable sur la fusée. Le tir, une fois n'est pas coutume se fait à 15h39, en plein jour.
Le site Agami est à 7km500 du pas de tir, c'est-à-dire tout à côté. Seuls les plus de 16 ans y ont accès. Nous sommes fouillés avant la montée dans les bus et la démonstration des masques à gaz est faite pendant le trajet et à nouveau sur le site.
Deux grands dais sont tendus avec environ 300 chaises dessous pour attendre le tir. Nous arrivons sur place 1heure avant le tir.
Le site est magnifique et nous avons une vue remarquable sur la fusée. Le tir, une fois n'est pas coutume se fait à 15h39, en plein jour.
Nous revenons sur Cayenne à la nuit tombante... La magie d'Ariane a encore opéré et bientôt Soyouz !
lundi 15 novembre 2010
En attendant.....La pluie
Cela peut paraître risible à ceux qui sont sous des hallebardes depuis plus d'une semaine, mais ici nous guettons le ciel avec intensité, en espérant qu'enfin elle arrive.
La pluie a du retard.... la chaleur est accablante... et le manque d'eau risque à nouveau de rendre l'eau potable un peu salée...
Une autre conséquence de cette absence de pluie est le prix exorbitant des fruits et légumes locaux. Cela revient moins cher d'acheter un kilo de pommes produites en Flandres d'un kilo de mangues alors que ces dernières tombent et pourrissent par kilos un peu partout !!!!
Une récente émission sur RFO a démontré que si nous voulons nous alimenter comme en métropole, notre panier nous coûtera presque 50 % plus cher que dans l'hexagone. Je vais peut-être me mettre au gingembre ?
Blague à part, la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté...Les marchés parallèles ont de beaux jours devant eux !
Pour en savoir un peu plus, rendez-vous ici (vous pouvez accélérer cela dure environ 1h, mais quelques passages sont significatifs !)
La pluie a du retard.... la chaleur est accablante... et le manque d'eau risque à nouveau de rendre l'eau potable un peu salée...
Une autre conséquence de cette absence de pluie est le prix exorbitant des fruits et légumes locaux. Cela revient moins cher d'acheter un kilo de pommes produites en Flandres d'un kilo de mangues alors que ces dernières tombent et pourrissent par kilos un peu partout !!!!
Une récente émission sur RFO a démontré que si nous voulons nous alimenter comme en métropole, notre panier nous coûtera presque 50 % plus cher que dans l'hexagone. Je vais peut-être me mettre au gingembre ?
Blague à part, la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté...Les marchés parallèles ont de beaux jours devant eux !
Pour en savoir un peu plus, rendez-vous ici (vous pouvez accélérer cela dure environ 1h, mais quelques passages sont significatifs !)
dimanche 7 novembre 2010
Animal de compagnie ?
Notre jardin fruitier visiblement leur plait beaucoup. L'iguane du milieu semble un peu gros(se ?) pour ne pas imaginer une petite famille bientôt !
Et peut-être que Ludo a enfin trouvé un partenaire pour jouer au foot avec lui ?
Et peut-être que Ludo a enfin trouvé un partenaire pour jouer au foot avec lui ?
mardi 2 novembre 2010
Le Rorota
La colline du Rorota a cet avantage non négligeable en période sèche, c'est celui d'être presque entièrement ombragé ! Donc départ 14h pour une marche de plus de deux heures.
Dès qu'il pleut, d'énormes ravines se forment dans la latérite et gare aux pieds qui se tordent !
Nous avons de la chance, à peine arrivés, nous apercevons un paresseux en pleine sieste (cliquez sur la photo pour agrandir)
Nous croisons également d'énooooooormes fourmis - environ 3 à 4 cm de long.
Des bouquets de bambous, non originaires de la Guyane, mais qui ont été importés des contrées asiatiques et qui sont légions maintenant. Le long des criques, ces bouquets indiquaient l'entrée des habitations au moment de la colonisation.
La nature est riche et fertile, mais également dangereuse pour les arbres qui se font étouffés par des lianes "tueuses".
Au sommet de la montagne, nous avons un magnifique paysage qui s'offre à nos yeux, le lac du Rorota. Retenue d'eau pour la ville de Cayenne.
Des petites cascades accompagnent notre descente.
Ici, une coque de maripas, très recherchée pour la décoration.
Autant nous avions un boulevard pour la montée, la descente s'avère beaucoup plus étouffante par ce sentier où l'air de la mer ne nous parvient plus à travers la densité de la forêt.
Un écocitoyen remet au jour un escalier oublié depuis des lustres...
Nous avons encore une fois la chance de voir un paresseux qui se dore au soleil.
Un chemin de traverse a été réaménagé, l'ancien est en piteux état !
Tout au début de notre marche, nous voyons la mer et les monts du littoral, Bourda, Montabo...
Les termites sont un vrai fléau, il n'y a qu'à voir la taille de leur termitière aux portes de la ville.
Notre promenade est finie et le paresseux du début s'est réveillé, mollement, très mollement !
Dès qu'il pleut, d'énormes ravines se forment dans la latérite et gare aux pieds qui se tordent !
Nous avons de la chance, à peine arrivés, nous apercevons un paresseux en pleine sieste (cliquez sur la photo pour agrandir)
Nous croisons également d'énooooooormes fourmis - environ 3 à 4 cm de long.
Des bouquets de bambous, non originaires de la Guyane, mais qui ont été importés des contrées asiatiques et qui sont légions maintenant. Le long des criques, ces bouquets indiquaient l'entrée des habitations au moment de la colonisation.
La nature est riche et fertile, mais également dangereuse pour les arbres qui se font étouffés par des lianes "tueuses".
Au sommet de la montagne, nous avons un magnifique paysage qui s'offre à nos yeux, le lac du Rorota. Retenue d'eau pour la ville de Cayenne.
Des petites cascades accompagnent notre descente.
Ici, une coque de maripas, très recherchée pour la décoration.
Autant nous avions un boulevard pour la montée, la descente s'avère beaucoup plus étouffante par ce sentier où l'air de la mer ne nous parvient plus à travers la densité de la forêt.
Un écocitoyen remet au jour un escalier oublié depuis des lustres...
Nous avons encore une fois la chance de voir un paresseux qui se dore au soleil.
Un chemin de traverse a été réaménagé, l'ancien est en piteux état !
Tout au début de notre marche, nous voyons la mer et les monts du littoral, Bourda, Montabo...
Les termites sont un vrai fléau, il n'y a qu'à voir la taille de leur termitière aux portes de la ville.
Notre promenade est finie et le paresseux du début s'est réveillé, mollement, très mollement !
samedi 30 octobre 2010
Takari Tanté
Cliquez sur la carte pour l'agrandir !
Nous avons rendez-vous à 7h00 du matin pour monter en voiture jusqu'au barrage.
Une fois l'embarcation chargée, nous partons pour 3h30 de navigation sur le lac.
Nous arrivons au carrefour du fleuve Sinnamary et de la rivière Courcibo qui va vers Saint Elie, une petite commune de 6 habitants qui fait l'objet de beaucoup de controverses.
Le barrage de petit saut, mis en service en 1994, a provoqué l'inondation d'une immense forêt. Trop vaste pour être déboisée, elle a été simplement mise sous l'eau. Le lac mesure quelques 350 km2, c'est le plus grand lac de France.
Parmis les vestiges, un ancien bagne annamite. Dans les années 30, Les indochinois récalcitrants se voyaient envoyer en Guyane, par la France, dans les bagnes qui leurs étaient destinés à travers le département. Peu en sont revenus et leurs descendants viennent rendre hommage aux ancêtres sur les anciens sites complètement en ruine.
Nous avons rendez-vous à 7h00 du matin pour monter en voiture jusqu'au barrage. 
Une fois l'embarcation chargée, nous partons pour 3h30 de navigation sur le lac.
Nous arrivons au carrefour du fleuve Sinnamary et de la rivière Courcibo qui va vers Saint Elie, une petite commune de 6 habitants qui fait l'objet de beaucoup de controverses.Tout le long de la navigation, nous apercevons les singes hurleurs. Nous les reconnaissons à leur couleur orange au milieu de la végatation très verte.
Après la pause-déjeuner, nous montons les hamacs, profitons de la "baignoire" du camp pour nous rafraîchir et partons pour le saut Takari Tanté..
Ce saut n'offre aucun passage, même en période de crue, il faut longer la berge par un sentier, la pirogue à la main !!!
Sur le chemin du retour, nous croisons des perroquets Ara, (cliquez pour voir)
Des toucans.
Après le dîner, nous partons en excursion de nuit...
Après la pause-déjeuner, nous montons les hamacs, profitons de la "baignoire" du camp pour nous rafraîchir et partons pour le saut Takari Tanté..
Ce saut n'offre aucun passage, même en période de crue, il faut longer la berge par un sentier, la pirogue à la main !!!
Sur le chemin du retour, nous croisons des perroquets Ara, (cliquez pour voir)
Des toucans.
Après le dîner, nous partons en excursion de nuit...Le lendemain, lever à 7h30 pour une nouvelle matinée de promenade.
1h30 de marche dans la forêt,
Pour enfin faire un arrêt baignade dans une crique. Arrêt bien mérité après cette marche sous la canopée.
Et pêche pour Ludo. Un aïmara a mordu à l'hameçon mais Ludo, trop petit, n'a pas réussi à le ramener et la canne a cassé !
Pendant cette promenade, nous découvrons la fleur d'un arbre à hévéa (caoutchouc), plutôt collante !
Nous sommes seuls, au milieu de nul part, avec des cadavres d'arbres échoués un peu partout sur le long de notre parcours.
Nous rentrons juste pour le déjeuner et nous apprécions ces acoupas et aïmara fumés au feu de bois toute la nuit.
Arrive l'heure du départ, l'orage gronde, les éclairs zèbrent le ciel et nous avons environ 3h00 de pirogue.
La forêt inondée est impressionnante et magnifique.
Nous accostons pour assister à un fabuleux coucher de soleil sur le lac de Petit Saut.
1h30 de marche dans la forêt,
Pour enfin faire un arrêt baignade dans une crique. Arrêt bien mérité après cette marche sous la canopée.
Et pêche pour Ludo. Un aïmara a mordu à l'hameçon mais Ludo, trop petit, n'a pas réussi à le ramener et la canne a cassé !
Pendant cette promenade, nous découvrons la fleur d'un arbre à hévéa (caoutchouc), plutôt collante !
Nous sommes seuls, au milieu de nul part, avec des cadavres d'arbres échoués un peu partout sur le long de notre parcours.
Nous rentrons juste pour le déjeuner et nous apprécions ces acoupas et aïmara fumés au feu de bois toute la nuit. 
Arrive l'heure du départ, l'orage gronde, les éclairs zèbrent le ciel et nous avons environ 3h00 de pirogue.
La forêt inondée est impressionnante et magnifique.
Nous accostons pour assister à un fabuleux coucher de soleil sur le lac de Petit Saut.
2 jours fatigants mais extraordinaires. Nous en avons rapporté des tiques et des morsures de poux d'agoutis. Comme le dit notre guide Patrick, "si tu ne ramènes rien de la forêt c'est que tu n'y as pas vraiment été"....Bon pour nous c'est bon, nous y étions plongés !
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